Je me trouvais en face de cinq femmes, toutes veuves, jouant le rôle d’un prêtre catholique. Elles avaient la conscience lourde et voulaient une oreille à leur écoute. Je leur avait invitées à se procurer un journal et ces cahiers se trouvaient sur mon bureau, en fin de semaine. Je les rencontrais 2 fois par semaine, en table ronde. J’avais tout comme l’impression d’être entourée d’assassins. Seigneur, aurais-je le courage de continuer cette thérapie? Farida, Psychologue